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Sur toute chair que tu appelles

(Lorber/Wackenheim/Bayard)

1
Sur toute chair que tu appelles,
Tu ouvres la main,
Seigneur de semence éternelle,
Pour que commence le chemin.
Guide nos pas sur cette terre.
Un jour, la race des vivants
Saura pourquoi ton coeur de Père
Est apparu dans un enfant.

2
Sur toute chair à ton service,
Tu ouvres la main,
Seigneur de paix et de justice,
Pour recréer la genre humain.
Le plus petit dans le Royaume
A l'éclat d'un soleil levant,
Sa gloire illumine tout homme :
Tu le reçois comme un enfant.

3
Sur toute chair dans la misère,
Tu ouvres la main,
Seigneur, en qui le pauvre espère,
Toi, qui le nourris de ton pain.
Quand vient le temps de la détresse,
Quand le vieux monde est déclinant,
L'Esprit secourt notre faiblesse
Et nous délivre en ton Enfant.

4
Sur toute chair en renaissance,
Tu ouvres la main,
Seigneur de joyeuse espérance,
Toi, dont l'amour n'a pas de fin.
Dispose-nous dans ton Unique,
Nous suivrons ses abaissements.
Son témoignage est véridique :
En lui, nous sommes tes enfants.