Adieu l’ami, adieu mon frère,
Là où tu vas, ne m’oublie pas !
Et souviens-toi de la lumière
Qui remplissait nos chants de joie.
Si dans mes yeux, il y a des larmes,
C’est rien, tu sais, ça passera ;
Il est des douleurs qui désarment,
Des souvenirs qu’on n’oublie pas.
Puisque la vie n’est qu’un “ je t’aime ”,
Puisque la vie n’est qu’un combat,
Je garderai, comme un poème,
Ton regard posé sur moi.
Adieu l’ami, adieu mon frère,
Là où tu es, ne m’oublie pas !
Et souviens-toi de la lumière
Qui remplissait nos chants de joie.
J’peux pas y croire, tellement c’est bête,
Pas même fini de commencer !
Toutes ces rencontres et toutes ces fêtes
Et puis tant et tant de gens à aimer !
De nos projets, de nos voyages,
De nos secrets, il restera
Ce qui embellit un visage,
Cet essentiel qu’on ne voit pas !
Là-bas, là-bas où le soleil se lève,
Là-bas où la vie n’est que joie,
Où les pleurs et les cris s’achèvent
Je sais, je sais qu’on se retrouvera...
On se retrouvera !