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Qui me reconnaîtra

(AELF/André/Caecilia)

ANTIENNE
Qui me reconnaîtra devant les hommes, je le reconnaîtrai devant mon père. (Mt 10, 32)

REFRAIN
Christe Salavator, Filius Patris, dona nobis pacem.

Ps 15, 1-2 ; 7-8

Garde-moi, mon Dieu :
J'ai fait de toi mon refuge.
J'ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu !
Je n'ai pas d'autre bonheur que toi. »

Je bénis le Seigneur qui me conseille :
Même la nuit mon cœur m'avertit.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
Il est à ma droite : je suis inébranlable.

ou bien
Ps 102, 1-13

Bénis le Seigneur, ô mon âme
Bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
N'oublie aucun de ses bienfaits !

Car il pardonne toutes tes offenses
Et te guérit de toute maladie ;
Il réclame ta vie à la tombe
Et te couronne d'amour et de tendresse ;

Il comble de biens tes vieux jours :
Tu renouvelles, comme l'aigle, ta jeunesse.
Le Seigneur fait œuvre de justice,
Il défend le droit des opprimés.

Il révèle ses desseins à Moïse,
Aux enfants d'Israël ses hauts faits.
Le Seigneur est tendresse et pitié,
Lent à la colère et plein d'amour ;

Il n'est pas pour toujours en procès
Ne maintient pas sans fin ses reproches ;
Il n'agit pas envers nous selon nos fautes,
Ne nous rend pas selon nos offenses.

Comme le ciel domine la terre,
Fort est son amour pour qui le craint ;
Aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
Il met loin de nous nos péchés ;

Comme la tendresse du père pour ses fils,
La tendresse du Seigneur pour qui le craint !
Il sait de quoi nous sommes pétris,
Il se souvient que nous sommes poussière.