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Quand le soir tombe sur la ville

(Devillers/ADF-Musique)

1
Quand le soir tombe sur la ville
Que l’on s’approche d’une fenêtre
En disant « À demain, peut-être… »
Quand des voix d’inconnus résonnent
Que l’on imagine leurs histoires
En échappant à leurs regards
Alors vient le temps des questions
L’heure où l’on fixe l’horizon
En cherchant désespérément
Une réponse à nos tourments

MAIS QUI ES-TU MON DIEU?
J’ENTENDS PARLER DE TOI
LES MOTS NE SUFFISENT PAS
MAIS QUI ES-TU ?
À MES YEUX RÉVÈLE-TOI!
MAIS QUI ES-TU ?
RÉPONDS-MOI,
DIS-MOI QUEL EST TON NOM !
JE T’EN PRIE… (bis)

2
Quand le soir tombe sur la ville
Que le silence de la terre
Invite l’Homme à la prière
Quand le désir d’être entendu
Devient si fort que tous les cris
S’étouffent ensemble dans la nuit
Alors il convient de se taire
De laisser dire, de laisser faire
Celui qu’on appelle au secours
Quand les ténèbres tuent le jour

MAIS OÙ ES-TU MON DIEU?
JE COURS APRÈS TA VOIX
QUI VIENT D’OÙ, JE NE SAIS PAS
MAIS OÙ ES-TU?
DANS CE MONDE QUI VIT SANS TOI
MAIS OÙ ES-TU?
TOI QUE J’AI CHOISI
POUR MON REFUGE
DANS LA NUIT… (bis)

3
Quand le soir tombe sur la ville…
Le champ de bataille est désert
Un souffle léger et tranquille
Redonne la vie même aux pierres
Alors vient le temps de quitter
Son masque de fer et d’acier
De laisser naître sous le vent
Un être de parole et de sang

MAIS QUE VEUX-TU MON DIEU?
ET QU’ATTENDS-TU DE MOI?
PARLE FORT, JE N’ENTENDS PAS
MAIS QUE VEUX-TU?
MA RAISON NE COMPREND PAS
MAIS QUE VEUX-TU?
COMME UN FEU,
MONTRE-MOI LE SENTIER
DANS LA NUIT… (bis)