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Tu sais, mon Dieu, les coeurs qui t’aiment

(Bernard/Roux/ADF-Musique)

1
Tu sais, mon Dieu, les coeurs qui t’aiment,
Leur vie est braise sous la cendre.
Dans leur désert ta voix se lève,
Tu as des mots pour les surprendre :
« Ton amour ne serait-il
Qu’une brume du matin,
Rosée d’aurore qui s’en va ? »
DEPUIS L’AURORE JUSQU’AU SOIR,
GARDE-NOUS FIDÈLES À TON AMOUR! (bis)

2
À notre soif de te connaître
Tu répondras par tes eaux vives.
Que cette grâce en moi ruisselle
Et j’apprendrai ta joie de vivre !
Mon amour ne serait-il
Qu’une brume du matin,
Rosée d’aurore qui s’en va ?

3
Que ta Parole nous relève
Et nous vivrons devant ta face !
Troisième jour, tu fais merveille,
Tu nous arraches à nos impasses.
Notre amour ne serait-il
Qu’une brume du matin,
Rosée d’aurore qui s’en va ?

4
Ce que tu veux, c’est la tendresse,
Bien plus que tous les sacrifices.
Le coeur à coeur avec toi-même,
Qu’il nous dispose à ton service !
Notre amour alors sera
Plus que brume du matin,
L’ondée fertile qui tiendra.