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Sur la montagne de l’Alverne

(Joly/Wackenheim/ADF-Musique)

SUR LA MONTAGNE DE L’ALVERNE
LA PUISSANTE ET DOUCE ARDEUR
DE L’AMOUR DE TON SEIGNEUR,
FRANÇOIS, A CONSUMÉ TON ÊTRE.

1
Comme la colombe s’est blottie
Dans l’ombre du rocher, bien à l’abri,
François, le Père t’a donné
Un lieu désert pour le chercher.

2
Le faucon, ce frère de toujours
Souvent vient t’éveiller avant le jour.
Tu chantes qu’en Jésus Dieu vient,
Qu’il sauve par la croix les siens !

3
Séraphin aux ailes déployées,
Jésus, le crucifié, soudain paraît.
Les plaies de la passion, alors,
Vraiment s’impriment sur ton corps.

4
Tu éprouves la plus grande joie
et tu ressens le plus grand désarroi,
Quand tu contemples le Sauveur
qui aime et souffre en serviteur.

5
Quand tu redescends du haut des monts,
ton âme débordant de compassion,
Tu portes dans ta chair le sceau
sculpté des mains du Dieu très haut.